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La banalité du bien: contre le culte des différences / Guy Konopnicki
Titre : La banalité du bien: contre le culte des différences Titre original : La banalité du bien Type de document : texte imprimé Auteurs : Guy Konopnicki, Auteur Editeur : Paris : Éd. Hugo & Cie Année de publication : 2009 Importance : 169 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7556-0302-6 Langues : Français (fre) Index. décimale : 323.6 Citoyenneté, nationalité, naturalisation Résumé : Pavé dans la mare de « la discrimination positive », le nouvel essai de Guy Konopnicki, s’attaque avec véhémence au culte des différences et au principe de Diversité érigé en culte. Deux dérives actuelles qui risquent de saper l’unité de la nation et les principes universalistes et intégrateurs de notre République.
La récente visite du Pape Benoît XVI en France et la polémique qui a suivi, autour du thème de « laïcité positive » lancé par le Président N. Sarkozy, rappellent l’actualité et l’importance à accorder à l’attitude de la République à l’égard des religions et de la laïcité, et continuent de confirmer l’acuité de la question religieuse dans la vie publique en France.
L’espace public devient un champ de bataille entre bandes confessionnelles, comme en témoignent les incidents répétés dans le 19e arrondissement .
Au cœur de ce débat, Guy Konopnicki, qui intitule son essai « La Banalité du bien » — en référence au concept (paradoxal) de « banalité du mal » utilisé pour la première fois en 1963 par Hannah Arendt à l’occasion du procès d’Adolf Eichmann* —, détourne l’expression avec une pointe d’ironie et de provocation.
Il y démontre les dangers que représente, pour notre République, cette volonté de valoriser à tout prix la « diversité » et les différences (de sexe, de religion, de couleur de peau, de race etc), au détriment de l’appartenance « commune » des citoyens à la République. La chose publique (Res publica) est d’abord cet espace « banal » celui des biens appartenant à tous.
Fustigeant toutes formes de discrimination — y compris positive — l’auteur propose de revenir à la « banalité » de la citoyenneté : « Je veux être un citoyen banal, que seul le mérite peut distinguer. » Il refuse les « signes distinctifs » que l’on cherche à nouveau à nous faire porter et qui stigmatisent toutes les catégories de français.
Si la France de Voltaire est celle de l’irrespect, nous n’avons que faire de ce « respect » exigé par les différentes minorités religieuses, qui elles-mêmes ont vécu librement dans une République qui obligeait à retenir, ce qui était commun.
Un essai percutant, pleinement dans l’actualité, qui met en avant ce principe générateur d’une histoire et d’une culture commune qu’il importe aujourd’hui de défendre et non pas celui des différences qui divisent! Sous la multiplicité des différences, le risque est bien d’étouffer le bien commun, la banalité du bien.La banalité du bien: contre le culte des différences = La banalité du bien [texte imprimé] / Guy Konopnicki, Auteur . - Paris : Éd. Hugo & Cie, 2009 . - 169 p.
ISBN : 978-2-7556-0302-6
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 323.6 Citoyenneté, nationalité, naturalisation Résumé : Pavé dans la mare de « la discrimination positive », le nouvel essai de Guy Konopnicki, s’attaque avec véhémence au culte des différences et au principe de Diversité érigé en culte. Deux dérives actuelles qui risquent de saper l’unité de la nation et les principes universalistes et intégrateurs de notre République.
La récente visite du Pape Benoît XVI en France et la polémique qui a suivi, autour du thème de « laïcité positive » lancé par le Président N. Sarkozy, rappellent l’actualité et l’importance à accorder à l’attitude de la République à l’égard des religions et de la laïcité, et continuent de confirmer l’acuité de la question religieuse dans la vie publique en France.
L’espace public devient un champ de bataille entre bandes confessionnelles, comme en témoignent les incidents répétés dans le 19e arrondissement .
Au cœur de ce débat, Guy Konopnicki, qui intitule son essai « La Banalité du bien » — en référence au concept (paradoxal) de « banalité du mal » utilisé pour la première fois en 1963 par Hannah Arendt à l’occasion du procès d’Adolf Eichmann* —, détourne l’expression avec une pointe d’ironie et de provocation.
Il y démontre les dangers que représente, pour notre République, cette volonté de valoriser à tout prix la « diversité » et les différences (de sexe, de religion, de couleur de peau, de race etc), au détriment de l’appartenance « commune » des citoyens à la République. La chose publique (Res publica) est d’abord cet espace « banal » celui des biens appartenant à tous.
Fustigeant toutes formes de discrimination — y compris positive — l’auteur propose de revenir à la « banalité » de la citoyenneté : « Je veux être un citoyen banal, que seul le mérite peut distinguer. » Il refuse les « signes distinctifs » que l’on cherche à nouveau à nous faire porter et qui stigmatisent toutes les catégories de français.
Si la France de Voltaire est celle de l’irrespect, nous n’avons que faire de ce « respect » exigé par les différentes minorités religieuses, qui elles-mêmes ont vécu librement dans une République qui obligeait à retenir, ce qui était commun.
Un essai percutant, pleinement dans l’actualité, qui met en avant ce principe générateur d’une histoire et d’une culture commune qu’il importe aujourd’hui de défendre et non pas celui des différences qui divisent! Sous la multiplicité des différences, le risque est bien d’étouffer le bien commun, la banalité du bien.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 2023111064 323.6 KON Livre SCIENCES HUMAINES Politique Disponible