Titre : |
Je m'appelle Asher Lev |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Chaïm Potok, Auteur ; Catherine Gary, Traducteur ; Fabrice Hélion, Traducteur |
Mention d'édition : |
1973 |
Editeur : |
Buchet/Chastel |
Année de publication : |
1972 |
Importance : |
409 p. |
Format : |
21 cm |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
roman américain |
Index. décimale : |
813 Fiction américaine de langue anglaise (romans américains de langue anglaise) |
Résumé : |
Ce roman magistral décrit la formation d'un grand peintre depuis l'époque où, petit juif de Brooklyn, il prenait conscience de ses dons jusqu'à l'exposition triomphale qui en le consacrant aux yeux du monde, le retranchait définitivement de son milieu.
Étrange milieu que cette communauté juive hassidique de Brooklyn originaire de Russie sur laquelle règne la toute puissance spirituelle du Rebbe. Cependant, dès l'enfance, Asher dessine comme il respire : sa maison, sa rue, son père, un des principaux collaborateur du Rebbe, qui tout en s'acharnant à sauver des juifs de la répression soviétique, est consterné de voir son fils unique s'écarter d'une tradition religieuse héroïque pour se livrer aux sottises de l'art. Il dessine aussi sa mère, lumineuse et fragile, déchirée par les ambitions admirables et contradictoires de son mari et de son fils.
Heureusement, pour Asher, le grand Rebbe qui dirige la vie de ses parents le comprend mieux qu'eux. Il s'incline devant un destin qu'il veut exceptionnel, irrépressible, et le confie au célèbre peintre Jacob Kahn qui devient son maître et lui révèle avec une intelligence remarquable le monde prodigieux de l'art. |
Je m'appelle Asher Lev [texte imprimé] / Chaïm Potok, Auteur ; Catherine Gary, Traducteur ; Fabrice Hélion, Traducteur . - 1973 . - Buchet/Chastel, 1972 . - 409 p. ; 21 cm. Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
roman américain |
Index. décimale : |
813 Fiction américaine de langue anglaise (romans américains de langue anglaise) |
Résumé : |
Ce roman magistral décrit la formation d'un grand peintre depuis l'époque où, petit juif de Brooklyn, il prenait conscience de ses dons jusqu'à l'exposition triomphale qui en le consacrant aux yeux du monde, le retranchait définitivement de son milieu.
Étrange milieu que cette communauté juive hassidique de Brooklyn originaire de Russie sur laquelle règne la toute puissance spirituelle du Rebbe. Cependant, dès l'enfance, Asher dessine comme il respire : sa maison, sa rue, son père, un des principaux collaborateur du Rebbe, qui tout en s'acharnant à sauver des juifs de la répression soviétique, est consterné de voir son fils unique s'écarter d'une tradition religieuse héroïque pour se livrer aux sottises de l'art. Il dessine aussi sa mère, lumineuse et fragile, déchirée par les ambitions admirables et contradictoires de son mari et de son fils.
Heureusement, pour Asher, le grand Rebbe qui dirige la vie de ses parents le comprend mieux qu'eux. Il s'incline devant un destin qu'il veut exceptionnel, irrépressible, et le confie au célèbre peintre Jacob Kahn qui devient son maître et lui révèle avec une intelligence remarquable le monde prodigieux de l'art. |
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