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Auteur Caillois, Roland |
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L’éthique / Spinoza
Titre : L’éthique Type de document : texte imprimé Auteurs : Spinoza, Auteur ; Caillois, Roland, Traducteur Editeur : Gallimard Année de publication : 1954 Importance : 379 p. Format : 18 cm Langues : Français (fre) Langues originales : Néerlandais (nla) Mots-clés : essai néerlandais philosophie métaphysique morale liberté spiritualité psychologie éthique Index. décimale : 170 Ethique Résumé : Le point de départ de la réflexion de Spinoza, c’est son expérience propre : il sait, par l’observation, qu’il a un corps, et il a conscience de ses affects. Mais, si c’est bien là une sorte de connaissance, c’est une connaissance incomplète et douloureuse : avoir conscience, c’est, pour l’ être humain, sinon toujours souffrir, du moins pâtir, être contraint, accablé.
Selon Spinoza, il importe de se faire de son être propre – et des accidents dont sa vie se compose – une idée comparable à celle qu’un mathématicien a d’une figure et des propriétés qui la constituent. Voilà pourquoi il écrit son Éthique « suivant l’ordre géométrique ».
À la passion succédera alors l’action, à une nécessité extérieure et contraignante, une nécessité conforme à sa volonté devenue raison. Mais, pour atteindre ce but, une connaissance adéquate des rapports que l’être humain entretient avec l’univers est indispensable. L’Éthique, en un mot, prétend nous élever de la conscience à la connaissance de nous-mêmes, et cette connaissance commence par celle de Dieu.L’éthique [texte imprimé] / Spinoza, Auteur ; Caillois, Roland, Traducteur . - Gallimard, 1954 . - 379 p. ; 18 cm.
Langues : Français (fre) Langues originales : Néerlandais (nla)
Mots-clés : essai néerlandais philosophie métaphysique morale liberté spiritualité psychologie éthique Index. décimale : 170 Ethique Résumé : Le point de départ de la réflexion de Spinoza, c’est son expérience propre : il sait, par l’observation, qu’il a un corps, et il a conscience de ses affects. Mais, si c’est bien là une sorte de connaissance, c’est une connaissance incomplète et douloureuse : avoir conscience, c’est, pour l’ être humain, sinon toujours souffrir, du moins pâtir, être contraint, accablé.
Selon Spinoza, il importe de se faire de son être propre – et des accidents dont sa vie se compose – une idée comparable à celle qu’un mathématicien a d’une figure et des propriétés qui la constituent. Voilà pourquoi il écrit son Éthique « suivant l’ordre géométrique ».
À la passion succédera alors l’action, à une nécessité extérieure et contraignante, une nécessité conforme à sa volonté devenue raison. Mais, pour atteindre ce but, une connaissance adéquate des rapports que l’être humain entretient avec l’univers est indispensable. L’Éthique, en un mot, prétend nous élever de la conscience à la connaissance de nous-mêmes, et cette connaissance commence par celle de Dieu.Exemplaires(0)
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