Titre : |
Léon Blum : juif et sioniste |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
André Blumel, Auteur |
Editeur : |
éditions de la Terre Retrouvée |
Importance : |
14 |
Mots-clés : |
André Blume l Léon Blum Parti socialiste SFIO années 1940 années 1950 années 1960 KKL Union sioniste de France Fédération sioniste de France MRAP Association France-URSS compagnon de route du Parti communiste Front populaire. |
Index. décimale : |
944.081 Histoire de France (1870-1945 : IIIe République, XXe siècle) |
Résumé : |
Tout le monde connait l’importance de Léon Blum comme homme politique français, sans doute le plus grand avec de Gaulle. D’abord et surtout, son rôle de chef du gouvernement en 1936, à la tête de la coalition du Front populaire, composé des radicaux, des socialistes et des communistes. Son nom est indissociable des immenses réformes sociales de 1936, qui ont transformé la France et le monde ouvrier. Au premier rang de ces réformes, les congés payés qui ont permis à l’ouvrier de « respirer » un peu et de quitter son labeur pour retrouver sa famille et son village. Ce changement excita tout particulièrement la haine de l’extrême-droite et des antisémites qui dénoncèrent « la volonté du Juif Blum d’imposer le repos du chabbat à la France, vieille nation chrétienne ». On connait par de nombreux livres la façon dont il a dirigé le parti socialiste S.F.I.O. après l’assassinat de Jean Jaurès, ses articles dans le Populaire, son discours au Congrès de Tours où il rejetait le communisme et les ordres de Moscou…
Par contre, avant ma biographie de Blum (Flammarion, 1996), écrite sur la base d’archives personnelles inédites de l’homme d’Etat, bien peu de chercheurs s’étaient intéressés à la « judaité » de Léon Blum. Dans quel milieu de la petite bourgeoisie juive alsacienne avait-il grandi ? Avait-il une connaissance du judaïsme ? Qui étaient ses amis juifs ? D’où lui venait son sionisme et sa décision de participer à l’Exécutif de l’Agence juive ? Comment a-t-il cherché à manifester son attachement à Chaim Weizmann et à l’Etat d’Israël ? Bref, à côté de l’homme politique, c’est le juif fier et conscient, sioniste et ami d’Israël que nous tenterons d’élucider dans ce séminaire.
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Léon Blum : juif et sioniste [texte imprimé] / André Blumel, Auteur . - éditions de la Terre Retrouvée, [s.d.] . - 14.
Mots-clés : |
André Blume l Léon Blum Parti socialiste SFIO années 1940 années 1950 années 1960 KKL Union sioniste de France Fédération sioniste de France MRAP Association France-URSS compagnon de route du Parti communiste Front populaire. |
Index. décimale : |
944.081 Histoire de France (1870-1945 : IIIe République, XXe siècle) |
Résumé : |
Tout le monde connait l’importance de Léon Blum comme homme politique français, sans doute le plus grand avec de Gaulle. D’abord et surtout, son rôle de chef du gouvernement en 1936, à la tête de la coalition du Front populaire, composé des radicaux, des socialistes et des communistes. Son nom est indissociable des immenses réformes sociales de 1936, qui ont transformé la France et le monde ouvrier. Au premier rang de ces réformes, les congés payés qui ont permis à l’ouvrier de « respirer » un peu et de quitter son labeur pour retrouver sa famille et son village. Ce changement excita tout particulièrement la haine de l’extrême-droite et des antisémites qui dénoncèrent « la volonté du Juif Blum d’imposer le repos du chabbat à la France, vieille nation chrétienne ». On connait par de nombreux livres la façon dont il a dirigé le parti socialiste S.F.I.O. après l’assassinat de Jean Jaurès, ses articles dans le Populaire, son discours au Congrès de Tours où il rejetait le communisme et les ordres de Moscou…
Par contre, avant ma biographie de Blum (Flammarion, 1996), écrite sur la base d’archives personnelles inédites de l’homme d’Etat, bien peu de chercheurs s’étaient intéressés à la « judaité » de Léon Blum. Dans quel milieu de la petite bourgeoisie juive alsacienne avait-il grandi ? Avait-il une connaissance du judaïsme ? Qui étaient ses amis juifs ? D’où lui venait son sionisme et sa décision de participer à l’Exécutif de l’Agence juive ? Comment a-t-il cherché à manifester son attachement à Chaim Weizmann et à l’Etat d’Israël ? Bref, à côté de l’homme politique, c’est le juif fier et conscient, sioniste et ami d’Israël que nous tenterons d’élucider dans ce séminaire.
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