Titre :	L'avenir d'une négation : réflexion sur la question du génocide
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Alain Finkielkraut, Auteur
Editeur :	Paris : Seuil
Année de publication :	1982
Collection :	Fiction & Cie num. 50e titre
Importance :	192 p
Format :	21 x 14 cm
ISBN/ISSN/EAN :	978-2-02-006080-6
Prix :	16.90€
Note générale :	Une analyse des raisons de la négation par différents courants d'intellectuels du génocide juif par les nazis.
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Shoah  négationnisme  génocide  juifs
Index. décimale :	305.8 Sociologie des groupes raciaux, ethniques, nationaux
Résumé :	L'auteur analyse les raisons de la négation par différents courants d'intellectuels du génocide juif par les nazis. Il évoque d'abord l'Union Soviétique où toutes références à la judaïté des victimes sur le sol soviétique pendant la guerre ont été effacées. En Pologne, à Auschwitz, aucune mention à l'entrée du camp qu'un million de juifs y sont morts parce que juifs. Le 1er révisionniste était Staline. Les arabes en amalgamant la politique israélienne au nazisme font preuve également de révisionnisme. En France, aujourd'hui, pour diverses raisons, on nie l'existence des chambres à gaz, ou bien l'on affirme que l'on exagère les chiffres. Egalement, en assimilant Hitler à Staline, on liquide les particularités du génocide. Les juifs, aujourd'hui, en ne correspondant plus à l'image de "victime absolue... christique" suscitent les réactions négationnistes. D'autre part, certains leur reprochent (Guy Hocquenghem dans Libération) d'avoir "empoché le magot des réparations allemandes", ne laissant rien aux autres victimes, les homosexuels entre autres. Alain FINKIELKRAUT réagissant à une remarque de Jean DANIEL, confirme qu'Israël ne doit pas être hors de toute critique, mais il dénonce les détournements de langage de certains assimilant Israël aux nazis. Interventions de Emmanuel LE ROY LADURIE, de Jacques BROYELLE et de Jean DANIEL.

L'avenir d'une négation : réflexion sur la question du génocide [texte imprimé] / Alain Finkielkraut, Auteur . - Paris : Seuil, 1982 . - 192 p ; 21 x 14 cm. - (Fiction & Cie; 50e titre) .
ISBN : 978-2-02-006080-6 : 16.90€
Une analyse des raisons de la négation par différents courants d'intellectuels du génocide juif par les nazis.

Langues : Français (fre)

Mots-clés :	Shoah  négationnisme  génocide  juifs
Index. décimale :	305.8 Sociologie des groupes raciaux, ethniques, nationaux
Résumé :	L'auteur analyse les raisons de la négation par différents courants d'intellectuels du génocide juif par les nazis. Il évoque d'abord l'Union Soviétique où toutes références à la judaïté des victimes sur le sol soviétique pendant la guerre ont été effacées. En Pologne, à Auschwitz, aucune mention à l'entrée du camp qu'un million de juifs y sont morts parce que juifs. Le 1er révisionniste était Staline. Les arabes en amalgamant la politique israélienne au nazisme font preuve également de révisionnisme. En France, aujourd'hui, pour diverses raisons, on nie l'existence des chambres à gaz, ou bien l'on affirme que l'on exagère les chiffres. Egalement, en assimilant Hitler à Staline, on liquide les particularités du génocide. Les juifs, aujourd'hui, en ne correspondant plus à l'image de "victime absolue... christique" suscitent les réactions négationnistes. D'autre part, certains leur reprochent (Guy Hocquenghem dans Libération) d'avoir "empoché le magot des réparations allemandes", ne laissant rien aux autres victimes, les homosexuels entre autres. Alain FINKIELKRAUT réagissant à une remarque de Jean DANIEL, confirme qu'Israël ne doit pas être hors de toute critique, mais il dénonce les détournements de langage de certains assimilant Israël aux nazis. Interventions de Emmanuel LE ROY LADURIE, de Jacques BROYELLE et de Jean DANIEL.