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La génération 68 au service de la mondialisation: la grande trahison / Morad El Hattab
Titre : La génération 68 au service de la mondialisation: la grande trahison Titre original : La génération 68 au service de la mondialisation Type de document : texte imprimé Auteurs : Morad El Hattab, Auteur ; Philippe Jumel, Auteur ; Roger Bensadoun, Auteur Editeur : Neuilly/Seine : Reinharc Année de publication : 2008 Collection : Histoire réelle, histoires légales Importance : 348 Format : 21 x 14 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84828-116-2 Prix : 23€ Note générale : Constatant que les classes dirigeantes actuelles françaises sont dominées par la génération morale de la guerre du Viêt Nam et de mai 68, les auteurs étudient la façon dont cette morale contestataire et libertaire cisèle les mentalités, les croyances et les préjugés des élites au pouvoir. Analyse des liens entre ces idées et le triomphe en Europe d'un libéralisme économique devenu mondialiste. Mots-clés : libéralisme économique - mondialisation - génération baby boom Index. décimale : 330.122 Economie libérale. Capitalisme Résumé : L'Europe et particulièrement la France présentent un paradoxe : les classes dirigeantes intellectuelles, médiatiques et politiques actuelles se sont formées dans une lutte anti-impérialiste pour la victoire mondiale du socialisme. Ainsi, la « révolution » de 1968 conduite par les élites de la jeunesse française, a fait de ces mêmes élites les cadres dirigeants de notre pays.
« Rentrez chez vous, demain vous serez tous notaires ! » lançait Marcel Jouhandeau aux fils à papa de 68. Il semblerait qu'il ait eu raison... En effet, la victoire de ces élites venues à l'âge du pouvoir coïncide avec le renouveau triomphal d'un libéralisme économique devenu mondialiste.
L'Union Européenne réalise un « capitalisme sans État » où il en résulte le dépérissement du Politique car le droit de vote n'est plus que le simple enregistrement d'une adhésion enthousiaste à une Europe de la concurrence libre et non faussée sur un Grand Marché Libéral voulu par la Génération 68.
Devenus de grands notables libéraux, les « révolutionnaires » de 1968 prétendent à l'exclusivité de l'éternelle jeunesse pour avoir renversé un Ordre Moral qui n'existait pas... ils ont carrément attribué à la République qu'ils détestent l'Ordre Moral de Vichy !
Nos « héroïques » soixante-huitards ont imposé l'Église du Politiquement Correct qui exige l'obligation de dénoncer et punir au nom des nouveaux délits de blasphème les idées déviantes et les déviants, c'est-à-dire tout ce qui scandalise les classes dirigeantes issues de 68.
L'historien, devenu commissaire de la police de la pensée, perd le droit de décrire et de rechercher le comment, il ne peut qu'exposer les coupables pour le jugement !
C'est parce que nous sommes coupables que nous devons obéir aux « sauvageons » de 1968 qui fondent la légitimité de leur pouvoir sur la culpabilité de la Nation, c'est-à-dire du peuple.La génération 68 au service de la mondialisation: la grande trahison = La génération 68 au service de la mondialisation [texte imprimé] / Morad El Hattab, Auteur ; Philippe Jumel, Auteur ; Roger Bensadoun, Auteur . - Neuilly/Seine : Reinharc, 2008 . - 348 ; 21 x 14 cm. - (Histoire réelle, histoires légales) .
ISBN : 978-2-84828-116-2 : 23€
Constatant que les classes dirigeantes actuelles françaises sont dominées par la génération morale de la guerre du Viêt Nam et de mai 68, les auteurs étudient la façon dont cette morale contestataire et libertaire cisèle les mentalités, les croyances et les préjugés des élites au pouvoir. Analyse des liens entre ces idées et le triomphe en Europe d'un libéralisme économique devenu mondialiste.
Mots-clés : libéralisme économique - mondialisation - génération baby boom Index. décimale : 330.122 Economie libérale. Capitalisme Résumé : L'Europe et particulièrement la France présentent un paradoxe : les classes dirigeantes intellectuelles, médiatiques et politiques actuelles se sont formées dans une lutte anti-impérialiste pour la victoire mondiale du socialisme. Ainsi, la « révolution » de 1968 conduite par les élites de la jeunesse française, a fait de ces mêmes élites les cadres dirigeants de notre pays.
« Rentrez chez vous, demain vous serez tous notaires ! » lançait Marcel Jouhandeau aux fils à papa de 68. Il semblerait qu'il ait eu raison... En effet, la victoire de ces élites venues à l'âge du pouvoir coïncide avec le renouveau triomphal d'un libéralisme économique devenu mondialiste.
L'Union Européenne réalise un « capitalisme sans État » où il en résulte le dépérissement du Politique car le droit de vote n'est plus que le simple enregistrement d'une adhésion enthousiaste à une Europe de la concurrence libre et non faussée sur un Grand Marché Libéral voulu par la Génération 68.
Devenus de grands notables libéraux, les « révolutionnaires » de 1968 prétendent à l'exclusivité de l'éternelle jeunesse pour avoir renversé un Ordre Moral qui n'existait pas... ils ont carrément attribué à la République qu'ils détestent l'Ordre Moral de Vichy !
Nos « héroïques » soixante-huitards ont imposé l'Église du Politiquement Correct qui exige l'obligation de dénoncer et punir au nom des nouveaux délits de blasphème les idées déviantes et les déviants, c'est-à-dire tout ce qui scandalise les classes dirigeantes issues de 68.
L'historien, devenu commissaire de la police de la pensée, perd le droit de décrire et de rechercher le comment, il ne peut qu'exposer les coupables pour le jugement !
C'est parce que nous sommes coupables que nous devons obéir aux « sauvageons » de 1968 qui fondent la légitimité de leur pouvoir sur la culpabilité de la Nation, c'est-à-dire du peuple.Exemplaires(0)
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